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Ainsi une éventuelle transition pourra s'opérer si les performances sont significativement améliorées et qu'il n'y a pas de régressions notables.
Ainsi une éventuelle transition pourra s'opérer si les performances sont significativement améliorées et qu'il n'y a pas de régressions notables.
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Le lien entre une langue couverte et une police d'écriture n'est plus dans le paquet de la police mais dans un paquet langpack spécifique''' nommé ''langpacks-core-font-<code langue>''.
'''Le lien entre une langue couverte et une police d'écriture n'est plus dans le paquet de la police mais dans un paquet langpack spécifique''' nommé ''langpacks-core-font-code_langue''.


En somme la macro ''font(:lang=xy)'' du paquet disparaît. Cette macro avait été ajoutée dans Fedora 11 pour que PackageKit puisse trouver une police d'écriture capable d'afficher une langue correctement si un logiciel en avait besoin. Cependant la première police compatible trouvée était installée ce qui était souvent une police de faible qualité et cela pouvait varier entre les machines pour une langue donnée.
En somme la macro ''font(:lang=xy)'' du paquet disparaît. Cette macro avait été ajoutée dans Fedora 11 pour que PackageKit puisse trouver une police d'écriture capable d'afficher une langue correctement si un logiciel en avait besoin. Cependant la première police compatible trouvée était installée ce qui était souvent une police de faible qualité et cela pouvait varier entre les machines pour une langue donnée.

Revision as of 19:17, 5 April 2020

En ce mardi XX avril, les utilisateurs du Projet Fedora seront ravis d'apprendre la disponibilité de la version Fedora 32.

Fedora est une distribution communautaire développée par le projet Fedora et sponsorisée par Red Hat, qui lui fournit des développeurs ainsi que des moyens financiers et logistiques. Fedora peut se voir comme une sorte de vitrine technologique pour le monde du logiciel libre, c’est pourquoi elle est prompte à inclure des nouveautés.

Fedora garde un rôle central dans le développement de ces nouveautés via le développement en amont. En effet, les développeurs de la distribution contribuent également directement au code d’un certain nombre de logiciels libres contenus dans la distribution, dont le noyau Linux, GNOME, NetworkManager, PackageKit, PulseAudio, X.Org, systemd, la célèbre suite de compilateurs GCC, etc. Cliquez ici pour voir l’ensemble des contributions de Red Hat.

Expérience utilisateur

Passage à GNOME 3.36. Cette version apporte de nombreuses petites améliorations dont voici un extrait :

  • refonte de l'interface de connexion (GDM) et du verrouillage de l'écran ;
  • GNOME affiche un bouton pour afficher le mot de passe du champ de saisi si nécessaire pour le contrôler ;
  • les boutons du menu de GNOME Shell ont été remaniés pour laisser apparaître la mise en veille sans utiliser une touche du clavier au préalable comme avant ;
  • une nouvelle application GNOME Extensions pour les configurer et les gérer plutôt que via votre navigateur web ;
  • un nouveau bouton Ne pas déranger est disponible dans la zone de notifications pour les désactiver le temps nécessaire pour l'utilisateur ;
  • le centre de configuration a été réarrangé rendant la navigation plus simple quand la section Vie privée liste désormais les applications qui ont obtenu des autorisations pour accéder aux services de localisation, à la caméra et au micro. L’accès peut être révoqué individuellement pour chaque application ;
  • GNOME Logiciels détecte les connections limitées (via le téléphone ou une puce 4G par exemple) pour désactiver le téléchargement automatique des mises à jour dans ce cas ;
  • un système de contrôle parental fait son apparition pour autoriser ou non l'accès à des applications ;
  • le navigateur web peut afficher les fichiers PDF directement ;
  • les utilisateurs de pilotes propriétaires NVIDIA peuvent désormais lancer les applications en utilisant le processeur graphique discret depuis GNOME Shell, avec le menu consacré.

Une nouvelle image alternative Comp Neuro Lab est disponible pour proposer par défaut des paquets relatifs aux neuro-sciences et qui est prête à l'emploi. Une documentation officielle est par ailleurs fournie pour voir les paquets proposés nativement comme octave, numpy ou encore neurord.

Plusieurs polices bitmaps sont converties en OpenType pour être exploitables par des applications plus modernes qui reposent sur la nouvelle version de la bibliothèque pango. En effet ce dernier depuis Fedora 31 utilise la bibliothèque HarfBuzz au lieu de FreeType pour effectuer le rendu des caractères et qui oblige de fait l'usage de polices vectorielles. Cette conversion a reposé principalement sur l'usage de l'outil fonttosfnt. Cela augmente de fait la diversité des polices prises en charge.

Gestion du matériel

Le service fstrim.timer est activé par défaut. Il sera exécuté de façon hebdomadaire pour signaler la liste des secteurs effacés au contrôleur de mémoires flash compatibles pour améliorer leur gestion d'un point de vue performance. Par défaut il est exécuté chaque lundi à minuit, ou au prochain redémarrage ou sorti de veille survenant après cette date si la machine était inactive.

Cela pourrait sur quelques rares matériels quelques problèmes de performances durant l'opération (soit quelques secondes). Cela est également actif depuis quelques années chez Ubuntu ou OpenSUSE ce qui a conforté le projet Fedora dans la fiabilité d'un tel changement.

Internationalisation

Migration de la plateforme de traduction de Zanata vers Weblate pour le projet Fedora. Le premier n'était plus vraiment maintenu depuis 2018 et souffrait de sérieux défauts comme l'impossibilité de voir les dernières traductions d'une langue en particulier pour les vérifier.

En plus Weblate est déjà utilisé depuis un moment pour la traduction de GNOME ce qui facilitera la possibilité de traduire pour ces différents projets pour un contributeur donné.

Un grand merci à notre responsable de la traduction francophone Jean-Baptiste Holcroft qui a été l'initiateur et le moteur de ce changement.

Administration système

Le paquet earlyoom est installé par défaut. En cas de mémoire insuffisante (RAM et swap utilisés à plus de 90%), un signal SIGTERM sera envoyé au processus ayant le plus gros score OOM. À plus de 95% d'utilisation, c'est le signal SIGKILL qui est envoyé.

Le but est d'essayer de sauver la machine en cas de problèmes de disponibilité de mémoire et quand la partition d'échange est très sollicitée. Une situation où un redémarrage brutal matériel était souvent nécessaire jusqu'ici même sur les machines puissantes disposant d'un SSD.

Contrairement à l'OOM du noyau (qui s'active plus tard), le signal SIGTERM est envoyé pour donner une chance au processus de se terminer proprement.

Pour revenir à la situation précédente vous pouvez exécutez la commande

# systemctl disable earlyoom.service 

Ou configurer earlyoom pour correspondre à vos besoins.

Le redémarrage des services après une mise à niveau est centralisé. Jusqu'alors dès qu'un paquet était mis à jour et que ce dernier contenait un service, un scriptlet redémarrait le dit service en question. Cela signifie qu'il faut maintenir ces scriptlets mais aussi qu'un service pouvait être relancé quand certaines dépendances n'étaient pas encore à jour. Ce qui est source de bogues plutôt pénible à identifier et corriger.

Maintenant l'ensemble des services sont redémarrés à la fin d'une transaction RPM, c'est-à-dire après la mise à jour complète de tous les logiciels concernés par cette transaction.

Les utilisateurs systèmes adoptent le format sysusers.d. En effet de nombreux paquets pour améliorer la sécurité et la gestion des droits d'accès créent un utilisateur spécifique lors de leur installation et exécution. Ces utilisateurs sont donc créent par une procédure non unique.

Passer à ce format permet d'unifier les procédures entre les paquets mais aussi avec OpenSUSE en cas de RPM communs. Pour l'administrateur système il est plus facile de lister quels paquets créent un nouveau utilisateur et éventuellement de surcharger le fichier correspondant pour que le logiciel exploite un autre utilisateur.

Enfin cela permet aussi d'utiliser systemd-sysusers si l'administrateur le souhaite et de faciliter son inclusion par défaut dans un futur proche.

Vous pouvez d'ailleurs lister les utilisateurs systèmes et leur but avec la commande :

$ systemd-analyze cat-config sysusers.d/

Le pare-feu dynamique firewalld migre de iptables vers nftables. Ce changement a déjà été introduit dans le projet officiel depuis deux versions mineures et une fois n'est pas coutume dans RHEL 8 aussi !

L'intérêt de ce changement est de réduire le nombre de règles, car il fallait avant dupliquer les règles communes d'IPv4 et IPv6 pour iptables et iptables6. Cela permet aussi d'exploiter les espaces de nom, en somme un utilisateur peut avoir des règles personnelles plus facilement. Et bien sûr comme le projet officiel a effectué ce changement, la maintenance sera plus aisée.

Par ailleurs la variante iptables par défaut devient iptables-nft. Il fournit des commandes alternatives et équivalentes pour iptables, ip6tables, ebtables et arptables. Ce que par ailleurs RHEL 8 encore une fois a déjà effectué. Cela permet de se focaliser sur nftables qui est devenu la référence. Il est possible via la commande alternatives de choisir l'ancienne implémentation si les paquets iptables, arptables-legacy et ebtables-legacy sont installés.

Le paquet apt va fournir le projet de Debian plutôt que apt-rpm. L'objectif de ce paquet est de faciliter la transition, les commandes apt étant traduites vers les commandes dnf pour éviter de perdre les débutants qui utilisent les commandes trouvées sur différentes documentations. Cependant apt-rpm n'était plus en phase avec les nouveautés de dnf comme les dépôts modulaires et n'est plus maintenu. L'objectif est aussi de maintenir dans Fedora des outils permettant de produire des paquets Debian.

  • Le gestionnaire de base de données MariaDB est mis à jour vers la version 10.4.
  • Son alter-ego PostgreSQL passe quant à lui à la version 12.
  • L'outil de sauvegarde rdiff-backup a été mis à jour vers sa dernière version 1.2.8 qui repose sur Python 3 et est incompatible avec celle qui reposait sur Python 2.

Développement

  • La suite de compilateurs GCC 10 est proposée.
  • Son concurrent direct LLVM vient également dans sa version 10.
  • La bibliothèque C GNU C Library progresse à la version 2.31.
  • Mise à jour de Binutils 2.33.
  • Le paquet clang-libs ne proposera plus que la bibliothèque partagée libclang-cpp.so, les 37 autres fichiers ayant fusionné avec ce dernier.
  • La bibliothèque de calcul multi-précision flottant mpfr a une précision de 4.0.2.
  • Le compilateur Pascal libre, Free Pascal Compiler, passe à la version 3.2.0.
  • Le langage Python rampe vers la version 3.8.
  • Tandis que Python 2 est retiré. Plus exactement, le paquet python2 est remplacé par celui de python27 pour des raisons de compatibilité. Les paquets qui dépendent de cette version de Python de même que les bibliothèques Python 2 sont quant à eux supprimés des dépôts. Cela met fin à la transition de Python 2 vers Python 3, ce premier n'étant plus maintenu officiellement depuis janvier 2020.
  • Le paquet python-nose est déprécié en vue d'une suppression future.
  • La boîte à outils Django 3 est disponible.
  • Ruby brille de 2.7 feux.
  • Le générateur de pages statiques Jekyll version 4 est exposé dans les dépôts.
  • Le gem Ruby Bundler passe quant à lui la 2e.
  • Le langage Go quant à lui file vers la version 1.14.
  • Haskell Stackage LTS va vers la version 14.
  • La pile .Net libre Mono évolue de la version 5.20 à 6.6.
  • PHP écrase avec sa version 7.4.
  • Le gestionnaire de versions Bazaar laisse place à son fork Breezy, qui est mieux maintenu.
  • La chaîne de compilation mingw32 change de systèmes d'exception de SJLJ vers dwarf-2.
  • Python est compilé avec le drapeau -fno-semantic-interposition pour améliorer ses performances.

Projet Fedora

Le projet améliore la façon d'avoir des statistiques sur l'utilisation de Fedora. L'objectif est de connaître plus finement le nombre de machines employant Fedora, mais aussi avoir des informations sur la version utilisée, sa variante (comme le Spins), etc. Ce qui permet à l'équipe qualité mais aussi au projet dans son ensemble de baser leurs décisions sur des données factuelles.

Actuellement le tout reposait sur la collecte de données des différents miroirs pour connaître le nombre d'installation en vigueur ce qui n'était pas fiable, à cause du fait que derrière une adresse IP peut se cacher plusieurs installations. Et cette méthode était plutôt lente pour remonter les informations.

Et il fallait trouver un moyen qui garantisse un respect de la vie privée maximale. Et bien évidemment, il faut que le mécanisme fonctionne si l'utilisateur utilise dnf, GNOME Logiciels ou Cockpit par exemple pour gérer ses paquets.

Pour éviter cela, tous les 7 jours lors d'une requête vers un dépôt, libdnf va envoyer la chaîne libdnf/VERSION (NAME VERSION_ID; [VARIANT_ID; ]OS[.BASEARCH]) comme user agent et incrémenter un compteur interne qui est aussi envoyé. Cela permettra d'obtenir les informations suffisantes à savoir la version de Fedora, la variante utilisée, l'architecture mais aussi la durée de vie d'une Fedora (une semaine, un mois, deux ans ?). L'user agent peut être changé via l'option user_agent dans le fichier de configuration de dnf. Cette fonctionnalité est également désactivable avec l'aide de l'option countme dans ce même fichier qui est configuré à False. Cette option étant activée par défaut.

Pour éviter le risque de traquer une machine en particulier, le compteur n'est plus incrémenté au bout de 60 semaines soit la durée de support approximative d'une Fedora.

Cette nouveauté a été proposée pour Fedora 30 mais a été finalement reportée.

Un bogue sur les images Live sur CD ne sera plus bloquant. En cas de bogues spécifiques à ces images une nouvelle version de Fedora sera proposée malgré tout. Le correctif nécessaire pourra avoir lieu après la disponibilité officielle initiale. Cela permet de réduire la charge des tests pour finalement assez peu d'utilisateurs et d'allouer ce temps à élaborer et exécuter des tests plus pertinents comme pour Fedora Silverblue.

De manière similaire, l'image Xfce ARM 32 bits ne sera plus bloquant alors que l'image Workstation pour AArch64 le sera. L'objectif est de focaliser l'équipe QA sur les images prioritaires et plus utilisées pour le projet Fedora.

Un nouveau buildroot pour le projet Fedora voit le jour pour proposer de tester un changement dans la micro-architecture x86_64. Ceci afin d'évaluer les possibilités d'améliorer les performances et d'observer les éventuelles régressions en vue d'une mise à jour globale des exigences de l'image x86_64.

Cela fait suite une proposition de changement rejetée récemment qui prévoyait de compiler les paquets x86_64 pour exploiter les instructions AVX2 ou SSE 4.2 par exemple. Ce qui aurait amélioré les performances globales de ces logiciels mais au détriment de la compatibilité des processeurs plus anciens. Le but ici est d'évaluer l'impact d'un tel changement en terme de performances et de tester la compatibilité des logiciels avec ces options.

Ainsi une éventuelle transition pourra s'opérer si les performances sont significativement améliorées et qu'il n'y a pas de régressions notables.

Le lien entre une langue couverte et une police d'écriture n'est plus dans le paquet de la police mais dans un paquet langpack spécifique nommé langpacks-core-font-code_langue.

En somme la macro font(:lang=xy) du paquet disparaît. Cette macro avait été ajoutée dans Fedora 11 pour que PackageKit puisse trouver une police d'écriture capable d'afficher une langue correctement si un logiciel en avait besoin. Cependant la première police compatible trouvée était installée ce qui était souvent une police de faible qualité et cela pouvait varier entre les machines pour une langue donnée.

Ici le résultat est plus prévisible et une police de qualité est fournie par ce biais.

Juste après la séparation entre Rawhide et une nouvelle version de Fedora, ici 32, une période de gel des paquets sera observée comme avant une Beta ou une sortie finale pour améliorer la stabilisation.

L'objectif est de consacrer ce temps après cette séparation pour corriger les bogues avant d'introduire des nouveautés supplémentaires. Cela permet de facilement produire des images testables et fiables bien avant la sortie de la version Beta. Pour Fedora 31, les difficultés rencontrées ont permis d'avoir une telle image testable seulement une semaine avant la Beta ce qui a laissé peu de temps pour tester et corriger ce qui était nécessaire.

L'ensemble des paquets qui gère des unités utilisateur pour systemd doivent recourir aux preset et non gérer cela à la main pour simplifier la maintenance et la cohérence. Cela reprend le même mécanisme proposé pour les services introduit dans Fedora 18.

Les paquets de base, qui sont notamment utilisés pour produire les images minimales pour conteneurs, réduisent leur nombre de scriptlets pour unifier les procédures et améliorer leur gestion.

La communauté francophone

L'association

Logo de Borsalinux-fr
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Borsalinux-fr est l'association qui gère la promotion de Fedora dans l'espace francophone. Nous constatons depuis quelques années une baisse progressive des membres à jour de cotisation et de volontaires pour prendre en main les activités dévolues à l'association.

Nous lançons donc un appel à nous rejoindre afin de nous aider.

L'association est en effet propriétaire du site officiel de la communauté francophone de Fedora, organise des évènements promotionnels comme les Rencontres Fedora régulièrement et participe à l'ensemble des évènements majeurs concernant le libre à travers la France principalement.

Si vous aimez Fedora, et que vous souhaitez que notre action perdure, vous pouvez :

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  • Organiser des évènements type Rencontres Fedora dans votre ville.

Nous serions ravis de vous accueillir et de vous aider dans vos démarches. Toute contribution, même minime, est appréciée.

Si vous souhaitez avoir un aperçu de notre activité, vous pouvez participer à nos réunions hebdomadaires chaque lundi soir à 20h30 (heure de Paris) sur IRC (canal #fedora-meeting-1 sur Freenode).

La documentation

Depuis juin 2017, un grand travail de nettoyage a été entrepris sur la documentation francophone de Fedora, pour rattraper les 5 années de retard accumulées sur le sujet.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que le travail abattu est important : près de 90 articles corrigés et remis au goût du jour. Un grand merci à Charles-Antoine Couret, Nicolas Berrehouc, Édouard Duliège, José Fournier et les autres contributeurs et relecteurs pour leurs contributions.

L'équipe se réunit tous les lundis soir après 21h (heure de Paris) sur IRC (canal #fedora-doc-fr sur Freenode) pour faire progresser la documentation par un travail collaboratif. Le reste de la semaine cela se passe sur les listes de diffusion.

Si vous avez des idées d'articles ou de corrections à effectuer, que vous avez une compétence technique à retransmettre, n'hésitez pas à participer.

Comment se procurer Fedora 32 ?

Fedora Media Writer
Fedora Media Writer

Si vous avez déjà Fedora 31 ou 30 sur votre machine, vous pouvez faire une mise à niveau vers Fedora 32. Cela consiste en une grosse mise à jour, vos applications et données sont préservées.

Autrement, pas de panique, vous pouvez télécharger Fedora avant de procéder à son installation. La procédure ne prend que quelques minutes.

Nous vous recommandons dans les deux cas de procéder à une sauvegarde de vos données au préalable.

De plus, pour éviter les mauvaises surprises, nous vous recommandons aussi de lire au préalable les bogues importants connus à ce jour pour Fedora 32.